Tu veux en savoir davantage sur les secrets de fabrication de la brasserie ?
Nathalie Dartois, de 20 Minutes TV, est venue interroger Lucas, notre super brasseur, pour l’émission « Viens je t’emmène ! ».
Auteur/autrice : brasserie_mir
Rencontres du 93ème type
Réalisation & Sound Design : Julien Lefebvre
Musique : Some Rise Up (Brotheration Reggae)
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.
« Brasseries indépendantes au bord du gouffre » : la campagne choc du Syndicat National des Brasseries Indépendantes (SNBI)
La brasserie s’associe à l’action de sensibilisation initiée par le Syndicat National des Brasseries Indépendantes (SNBI), qui en appelle à l’Etat, pour la mise en place d’une aide sectorielle.
Comme beaucoup de brasseries artisanales, MIR est depuis de longs mois durement impactée par les effets inflationnistes générés par le conflit en Ukraine : explosion, parfois « délirante », de nos prix d’achat (principalement sur le verre, dont le tarif a quasiment été multiplié par deux, avant de refluer modestement, tout récemment), de nos charges (coût de l’énergie, loyer, impôts et taxes (doublement, par exemple, du montant de la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) en 1 an !)…) et, en parallèle, une consommation atone, liée aux budgets des ménages contraints par la crise.
Dans ce contexte difficile, la brasserie a connu des exercices 2021 et 2022 déficitaires (le bilan 2023, qu’on espère peu ou prou à l’équilibre, n’est pas encore disponible), malgré une progression continue de son chiffre d’affaires (+ 30% en 2022 par rapport à 2021, + 20% en 2023 par rapport à 2022), des bières toujours plus qualitatives et des sacrifices personnels constants, au détriment de nos familles et amis.
Tout récemment, le départ de Claude de la brasserie n’a pu être compensé, faute de moyens – les effectifs sont désormais de deux temps pleins seulement, chichement rémunérés.
Malgré tout, nous avons encore plein d’idées et projets, et espérons que l’année 2024, riche de manifestations a priori porteuses, comme l’Euro de football ou les Jeux Olympiques, permettra un rebond global (avec une rentabilité améliorée) de l’activité des brasseries artisanales sur notre territoire, et la sauvegarde, ainsi, de centaine d’emplois.
Nous comptons sur votre soutien. Vos sourires et petits mots glissés lors des événements organisés à la brasserie sont notre principal carburant – merci.
Plus que jamais, consommons local, artisanal et convivial !
Mur MIR, Saison 4 : Mister Pee prochainement à l’œuvre !
Thomas Dityvon, alias Mister Pee, artiste basé à Romainville, recouvrira d’ici quelques semaines la réalisation de Quentin Duroux, visible dans notre biergarten depuis le printemps 2023.
Mister Pee exposera également ses créations au sein même de la brasserie, avec une scénographie originale faite de graffs, collages, suspensions et lithographies, pour un vernissage prévu lors des Portes Ouvertes des Ateliers d’Artistes de la Ville de Romainville, les 1er et 2 juin prochains.
En savoir plus sur le projet du Mur MIR : https://biere-mir.fr/murs-mir-etiquettes-de-notre-biere-de-recolte-annuelle-a-base-de-hop-hop-hop-hop-romainville-style/
Bio :
Thomas Dityvon alias Mister Pee pousse son premier cri en 1975.
Baigné dès son plus jeune âge dans le monde de l’image avec un père photographe, il fait ses premièrs murs sur les terrains vagues de son quartier. C’est dans le XIIIème arrondissement de Paris et plus précisément « aux frigos » rue de Tolbiac, que Mister Pee découvre les graffitis. Déjà attentif à l’art urbain, il n’hésite pas à grimper et escalader les palissades pour découvrir ce qui s’y cache. Basquiat, Keith, Haring et Egon Schiele sont autant de sources d’inspiration pour lui. Depuis quelques années Mister Pee revient à ses premières amours en intervenant régulièrement dans la rue par le biais de collages et de peintures murales. Son univers loufoque est le théâtre de saynètes et d’images-rébus qui interrogent les sentiments et les humeurs de la condition humaine.
MURS MIR & ÉTIQUETTES DE NOTRE BIÈRE DE RÉCOLTE ANNUELLE, À BASE DE HOP HOP HOP HOP (ROMAINVILLE STYLE)
[LE SAVIEZ-VOUS ? #1] MIR et la consigne
Nous récupérons depuis presque 3 ans maintenant les bouteilles MIR vides (33 et 75 cl), afin de les faire laver par notre prestataire Uzaje, situé à Neuilly-sur-Marne (10 km de la brasserie).
Au delà de l’aspect environnemental, le retour des bouteilles à désormais un vrai intérêt économique : si, quand nous avons initié le principe, le lavage était légèrement plus coûteux que l’achat d’une bouteille neuve (de 1 à 2 centimes par bouteille), désormais, les cartes sont totalement rebattues, avec l’explosion des prix pratiqués par les verriers (doublement des tarifs en 1 an 1/2 / + 100% d’augmentation).
Actuellement, 60 à 70% des bouteilles achetées à la brasserie nous reviennent – ce qui est déjà un excellent score ! On compte sur vous pour l’améliorer encore.
Attention toutefois à ne pas nous ramener de bouteilles d’autres brasseries : même si elles ont le même aspect extérieur que les nôtres, elles ne sont pas forcément pourvues d’étiquettes avec adhésif hydrosoluble.
A noter que certains de nos clients professionnels se sont également engagés dans une démarche de récupération de nos bouteilles, comme Canons (Pantin), L’Ilôt Gramme (L’Ile-Saint-Denis), Le théâtre du Garde-Chasse (Les Lilas) ou bien encore L’Atelier de Paris / CDCN (liste non exhaustive)…
Encore merci de votre aide !